Ils sont jeunes, ils sont brillants, ils sont imbattables… enfin presque.
Pour sa nouvelle campagne signée Buzzman, BoursoBank a réussi l’exploit de faire tomber Alexis et Félix Lebrun, les prodiges du tennis de table français. Mais cette fois, leurs adversaires ne sont pas humains : ce sont les cartes bancaires de la marque.
Quand BoursoBank transforme la banque en sport de haut niveau
Depuis plusieurs années, BoursoBank s’impose comme l’un des acteurs les plus innovants de la banque en ligne. Alors pour illustrer la performance et la maîtrise, la marque a trouvé un parallèle évident : le tennis de table, discipline où précision et vitesse font loi. Et qui mieux que les frères Lebrun pour incarner cette idée ?
Dans la campagne, les deux champions affrontent trois “adversaires” redoutables : les cartes Ultim, Welcome et Metal. Chacune symbolise une version de la performance bancaire : paiements gratuits à l’étranger, assurance haut de gamme, ou avantages exclusifs. Le concept repose sur une métaphore maligne : ces cartes sont si performantes qu’elles en deviennent imbattables, même face aux meilleurs joueurs du monde.
Avec cette approche, BoursoBank réussit à rendre concret un sujet souvent perçu comme froid. Elle associe l’émotion et la tension du sport à la fluidité et à la fiabilité de ses services, créant un parallèle entre l’excellence humaine et technologique.

Un duel plein d’humour signé Buzzman
Réalisée par Buzzman, l’agence derrière certaines des campagnes les plus créatives de ces dernières années, la série de films joue à fond la carte du second degré. On y voit les frères Lebrun totalement déstabilisés par des “services” venus d’une autre planète : ceux de BoursoBank.
La mise en scène reprend les codes du sport de haut niveau (ralenti, intensité, bruit de balle) mais les détourne pour en faire un match absurde entre athlètes et objets inanimés. Résultat : une campagne qui fait sourire autant qu’elle impressionne.
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Déployée en VOL (vidéo online) depuis le 3 novembre et orchestrée par iProspect, la campagne se décline en trois films de 20 secondes, chacun centré sur une carte. Un format court, percutant et taillé pour les plateformes sociales et YouTube, là où se trouvent les publics jeunes et digitalisés que la marque vise.

Une campagne qui confirme la maîtrise de BoursoBank
Derrière l’humour, il y a une vraie démonstration de stratégie. En choisissant des ambassadeurs crédibles, une exécution cinématographique et un ton léger, BoursoBank réussit à humaniser un produit financier sans le dénaturer.
Cette prise de parole s’inscrit dans la continuité de la marque, qui depuis plusieurs années, cherche à se distinguer par une communication simple, moderne et pleine de personnalité. Après ses campagnes humoristiques autour des frais bancaires (“Dubaïaïeaie”, “Bangkroute”), BoursoBank prouve qu’elle sait aussi jouer dans la cour du storytelling haut niveau.
En s’associant à deux figures montantes du sport français, la marque fait un pas de plus dans une communication fondée sur la performance, l’agilité et la confiance.
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