Vous aussi quand on vous parle de Pierre & Vacances, vous vous crispez ? Pourtant, est-ce que vous connaissez vraiment la marque et ses offres ? En effet, victime de son image, Pierre & Vacances et l’agence Rosa Paris ont dévoilé un film pour rebondir sur le manque de connaissance de certains consommateurs.
« Apparement, nos résidences changent plus vite que notre image ». C’est le paradoxe de la marque : une perception très différente entre ses clients et les familles qui ne la connaissent pas.
Ainsi, Pierre & Vacances a donc décidé de traiter sans détour les idées reçues et la méconnaissance de son offre dans une nouvelle campagne de marque impertinente prenant le contre-pied des idées préconçues. À travers un nouveau film TV, Pierre & Vacances fait preuve d’audace et d’autodérision en évinçant les préjugés comme la promiscuité ou le manque de modernité de ses résidences. Ce nouveau chapitre publicitaire s’inscrit comme une nouvelle étape-clé dans le développement de la marque et vient confirmer son ambition stratégique visant à consolider sa place de n°1 du tourisme de proximité en Europe.
« La meilleure façon de déconstruire des préjugés c’est de les évoquer, de les affronter. C’est ce qu’a fait Pierre & Vacances, avec humour. Le film met en scène un client qui revient ravi de son séjour chez Pierre & Vacances et qui, à sa grande surprise, se fait taquiner par ses collègues et amis, parce qu’ils ont une image faussée de la marque. C’était osé. Et nous sommes très fiers du résultat » expliquent Nicolas Gadesaude et Julien Saurin, Directeurs de création chez Rosa Paris.
C’est en effet assez rare de voir une marque faire preuve d’autodérision dans une publicité. Pourtant avec ce film, Pierre & Vacances montre toute son intelligence en prenant conscience du problème auquel elle fait face, une bonne initiative qui permet de tourner en dérision ses détracteurs. En effet, ces derniers sont vus comme des ignorants, ce qui nous permet de nous identifier facilement au personnage principal et de comprendre que, finalement, c’est bien lui qui a raison.