Dix ans après sa création, Romance continue d’écrire sa propre histoire.
L’agence du groupe Omnicom, fondée par Christophe Lichtenstein et Alexandre Hervé, entre dans une nouvelle phase de son développement en promouvant trois talents clés issus de ses rangs : Julie Deshayes, Sarah Holgado et Arthur Amis. Trois parcours, trois expertises, mais un même ADN : celui d’une agence créative en pleine ascension.
Une nouvelle génération qui s’impose naturellement
Cette annonce confirme ce que beaucoup pressentaient : Romance fait confiance à ses propres talents pour assurer la relève.
-
Julie Deshayes, ex-Digitas, a fait émerger un pôle Social Media & Influence qui représente désormais 10% des revenus de l’agence. Dans un paysage où la créativité se joue aussi sur les plateformes sociales, cette montée en puissance n’a rien d’anodin.
-
Sarah Holgado, quant à elle, a co-dirigé le développement de l’agence en orchestrant des gains majeurs pour des pure players comme Deliveroo. Elle prend désormais la direction du compte Audi, client emblématique de Romance.
-
Enfin, Arthur Amis, passé par BETC où il a notamment travaillé sur FDJ, a contribué à plusieurs nouveaux gains commerciaux dont ceux du groupe Lesieur.
Ces nominations ne relèvent pas d’un simple changement organigramme : elles incarnent une évolution culturelle. Chez Romance, la croissance se nourrit de la reconnaissance interne et d’une conviction forte : les talents qui font le succès d’une agence doivent aussi pouvoir en écrire la suite.
Une agence qui consolide sa vision et son influence
Depuis sa création en 2014, Romance s’est imposée comme l’une des agences les plus créatives de sa génération. Son approche mêle storytelling émotionnel et rigueur stratégique, avec des campagnes marquantes pour Intermarché, FDJ, Ricard ou Santé publique France.
Cette nouvelle organisation traduit une ambition claire : accélérer la croissance en France et à l’international. L’agence compte aujourd’hui 120 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros, preuve d’une solidité rare dans un marché publicitaire en pleine mutation.
Mais plus que les chiffres, c’est la culture d’agence qui se distingue. Romance a toujours cultivé un équilibre entre exigence créative et bienveillance humaine, un modèle que peu d’agences parviennent à maintenir sur la durée. Cette promotion interne en est la continuité logique.
Pas de plafond de verre, mais une ambition assumée
Pour Christophe Lichtenstein, CEO de Romance, cette décision est avant tout un signal fort : « C’est la démonstration que l’agence a l’ambition de continuer à croître, en France et à l’international, et qu’il n’existe pas de plafond de verre chez Romance. »
Une déclaration qui prend tout son sens dans un secteur encore souvent critiqué pour son manque de diversité dans les postes de direction. En confiant davantage de responsabilités à une nouvelle génération (et notamment à deux femmes issues des métiers du développement et du social media), Romance montre qu’il est possible de conjuguer performance, créativité et équité.
En dix ans, l’agence est passée du statut d’outsider à celui de référence créative. Et cette nouvelle étape laisse peu de doute : Romance entend bien continuer à faire battre le cœur de la pub française, avec la même passion… et une équipe plus inspirante que jamais.
