L’été 2025 est déjà bien épicé, mais Ramdam Social a décidé d’y ajouter sa touche croustillante. La startup bordelaise, connue pour son modèle solidaire unique, dévoile une nouvelle recette de chips piment doux & paprika.
Pour marquer le coup, elle n’a pas choisi la Côte d’Azur, ni Biarritz, mais un lieu à la réputation… brûlante : le Cap d’Agde. Au programme, affichage sauvage, clins d’œil libertins et même un compte OnlyFans consacré aux chips. De quoi faire sourire, mais surtout réfléchir sur la manière dont une marque peut conjuguer humour, provocation et engagement social.
Quand le marketing se déshabille pour attirer l’attention
Choisir le Cap d’Agde n’a rien d’anodin. C’est un lieu déjà associé à la chaleur, aux excès et à une liberté totale. Installer une campagne de chips dans cet univers libertin, c’est créer un décalage qui intrigue. L’affichage sauvage, les détournements de vitrines de supermarchés et le fameux compte OnlyFans dédié aux chips jouent tous sur ce contraste entre banalité alimentaire et imaginaire sulfureux. Résultat : la marque fait parler d’elle bien au-delà du littoral héraultais.
C’est une stratégie efficace dans un paysage publicitaire saturé : plutôt que de crier plus fort, Ramdam Social choisit de surprendre et d’amuser. On n’achète peut-être pas des chips pour leur storytelling, mais on se souvient de celles qui osent. Et en 2025, capter l’attention du public passe souvent par cette capacité à créer un buzz culturel.
Des chips qui nourrissent aussi la solidarité
Derrière la blague, il y a du sérieux. Chaque sachet vendu finance une aide alimentaire distribuée à une personne en situation de grande précarité via le Samusocial. Depuis 2024, ce sont plus de 600 000 personnes qui ont déjà bénéficié de l’impact Ramdam Social, preuve que l’humour peut aussi être une porte d’entrée vers la solidarité. Ce modèle “un produit acheté, une action financée” séduit de plus en plus de consommateurs qui recherchent du sens dans leurs achats.
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Et ça tombe bien : le secteur agroalimentaire est aujourd’hui scruté de près sur ses engagements. Les marques qui veulent exister doivent montrer qu’elles ne se contentent pas de remplir des rayons, mais qu’elles participent à quelque chose de plus grand. Avec sa campagne, Ramdam Social illustre parfaitement cette nouvelle équation entre fun, food et impact social.
Le pari d’une marque artisanale qui casse les codes
Au-delà de la communication, les chips Ramdam Social se distinguent aussi par leur fabrication : artisanales, sans huile de palme ni arômes artificiels, et produites à Guérande. Ce choix de qualité renforce la cohérence du discours : on peut être drôle, provocant, mais sérieux sur le produit. C’est d’ailleurs une attente forte des consommateurs en 2025, lassés des opérations “fun” qui masquent une réalité industrielle décevante.
Avec ses nouvelles chips piment doux & paprika, la marque ajoute une recette piquante à sa gamme tout en consolidant son identité : celle d’un acteur engagé qui sait manier autant le second degré que la responsabilité sociale. Dans un marché où les multinationales dominent, voir une startup jouer les trouble-fêtes avec autant de créativité est rafraîchissant. Et visiblement, un peu épicé.
Conclusion
En choisissant le Cap d’Agde comme terrain de jeu, Ramdam Social réussit une campagne à la fois provocante, drôle et profondément engagée. L’idée n’est pas seulement de vendre des chips, mais de créer un souvenir, une conversation, et surtout un geste solidaire. Le message est clair : on peut grignoter, rire, et contribuer à un monde plus juste en même temps. Finalement, ces chips ne sont pas juste “trop bonnes pour être vraies”, elles sont aussi trop utiles pour être ignorées.
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