Pourquoi continuer à payer des frais bancaires absurdes en 2025 ? C’est la question que pose, avec beaucoup de malice, la nouvelle campagne de BoursoBank, imaginée par Buzzman, orchestrée avec iProspect et portée par une série de films réalisés par Kyan Khojandi.
Pour la 17e année consécutive, la marque est élue banque la moins chère, et elle le rappelle avec un ton drôle, complice, et furieusement bien vu. Une campagne multi-format qui fait écho à nos petites absurdités du quotidien, pour mieux nous faire ouvrir les yeux sur une autre : ne pas avoir encore rejoint BoursoBank.
Kyan Khojandi signe ses premiers films publicitaires avec brio
C’est la bonne surprise de cette campagne : Kyan Khojandi, connu pour la série “Bref”, passe derrière la caméra publicitaire pour la première fois. Et autant dire qu’il ne s’est pas contenté d’un exercice de style. Dans ces quatre films courts de 20 secondes, diffusés en vidéo online, le comédien et réalisateur joue à fond la carte du quotidien absurde, de ces petits moments gênants ou absurdes qu’on a tous vécus.
On retrouve par exemple l’insonorisation désastreuse d’un studio, une procrastination légendaire autour de la vaisselle, ou encore ces petites hypocrisies sociales qui nous font sourire jaune. Chaque scène se termine par une punchline limpide : “Continuer de payer plus cher ailleurs ? Ça n’a plus aucun sens.” Une manière efficace d’ancrer l’argument rationnel dans l’émotionnel, le tout avec un ton qui colle parfaitement à la personnalité de la marque.
Une campagne qui installe BoursoBank dans la culture pop du quotidien
Cette campagne va bien au-delà des films. L’univers visuel et verbal se décline en affichage, digital, et audio, toujours avec ce même humour un peu piquant. Dans les abribus, les salles de sport, ou même dans le métro, les punchlines font mouche : simples, efficaces, et toujours connectées à des scènes de la vraie vie.
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Ce choix créatif traduit bien la volonté de BoursoBank de se rapprocher de ses utilisateurs, en parlant leur langue et en pointant du doigt des comportements irrationnels qu’on assume tous… sauf quand il s’agit de ses finances. L’humour devient ici un levier pédagogique, sans jamais être donneur de leçon. Et ça fonctionne.
Un positionnement clair renforcé par des preuves concrètes
Derrière cette campagne légère se cache une stratégie produit solide. BoursoBank ne se contente pas de faire sourire : elle met en avant des arguments tangibles. Une carte ULTIM gratuite, des frais annuels sous la barre des 10 €, et un accès à des offres partenaires via The Corner. Bref, ce n’est pas juste une promesse de com’. C’est un positionnement assumé : moins de coûts, plus d’avantages.
La campagne prouve que la marque sait faire évoluer sa prise de parole sans dévier de son ADN : casser les codes d’un secteur souvent trop sérieux, tout en gardant une vraie rigueur sur la valeur ajoutée proposée.
Conclusion
Avec cette campagne rafraîchissante, BoursoBank prouve qu’on peut parler banque sans assommer le public. En s’appuyant sur Kyan Khojandi et sur des situations familières, la marque transforme un argument rationnel en moment de com’ malin, drôle, et franchement pertinent. Parce qu’en 2025, rester chez une banque chère, c’est vraiment comme ne jamais faire sa vaisselle : ça finit par puer.
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